Cr 18 par rosamund le 22/03

Nous sommes partis faire un portrait-robot de l'éventreur, au commissariat.
Je n'étais vraiment pas à l'aise d'être à cet endroit, après avoir menti à la police.
Nous arrivons dans le bureau d'une policière, celle-ci est assez exaspérante.
Elle nous demande ce que l'on veut au commissaire, ce qui énerve particulièrement Annabelle.
Nous lui disons que nous connaissons le commissaire et qu'il faut absolument qu'on lui parle.
Elle va le voir, lui fait part de notre arrivée, celui-ci nous autorise à lui parler.
Nous demandons à faire le portrait, Sir Ginger ayant eu des souvenirs.
Nous restons pour le moment assez vague sur le pourquoi.
Le commissaire explique à Augustine, la policière, que nous sommes l'équipe dont certains journaux parlent.
Elle nous emmène au portraitiste, celui-ci nous demande la taille du portrait à réaliser, si celui-ci est complet ou simplement le visage, nous lui indiquons que nous voulons un portrait grandeur nature avec le plus de détails possible.
Au cours de la conversation, nous lui indiquons que nous aimerions aussi un portrait nu , même s'il s'interroge sur le fait que nous ayons certains détails il accepte malgré tout notre demande.
Il le dessine avec un grand manteau marron, un chapeau haut-de-forme noir et tous les détails que Sir Ginger lui énumère.
Il est temps pour nous de faire la pause repas.
Augustine qui était resté avec nous tout ce temps demande à partager notre repas, Annabelle refuse.
Nous allons manger au bar où tous les policiers se retrouvent.
Je me sens une nouvelle fois honteuse de mon comportement.
Nous retournons l'après-midi pour finir le portrait-robot, la tension est de plus en plus palpable entre Annabelle, Titus et Augustine.
Nous allons prendre un verre avec Augustine qui s'interroge sur notre rôle dans cette enquête.
Nous nous éloignons beaucoup du commissariat.
L'information suivante nous échappe à voix forte, que je suis avec Arthuro.
Le comportement d'Augustine change, elle travaille pour lui.
Elle semble tiraillée entre son rôle de policière et le fait d'être au service d'un chef de gang.
Annabelle est très réticente à son sujet.
Nous nous rendons compte que le bar est vide, et qu'il n'y a plus personne dans les rues.
Le barman n'est même plus là , soi-disant parti chercher, la drogue d'Annabelle.
Je décide d'appeler Arthuro, n'aimant pas du tout cette ambiance.
Augustine reste au palier de la porte pendant que je lui parle.
J'apprends que le barman, de peur de la réputation d'Arthuro, a fait vider le bar et empêché les gens de passer devant.
Il ne sait pas s'il revient, et il me demande s'il doit régler le souci pour Annabelle.
Malgré mon aversion pour la drogue, j'accepte pour le bien d'Annabelle.
Je lui fais part de mon envie de le revoir et nous clôturons notre appel par un mot doux et le fait qu'il a confiance en Augustine.
En retournant à table, je fais part à mes comparses, que je fais confiance à Augustine.
Le barman reviens, avec le dû d'Annabelle.
Le comportement d'Augustine m'inquiète, j'ai peur qu'elle ait des sentiments pour lui.
Nous apprenons un nouveau mort, à l'hôtel où nous étions.
Nous nous rendons sur les lieux, encore une fois personne n'a rien vu, la cicatrice de Sir Ginger le démange.
Nous décidons de regarder la foule, d'essayer de le retrouver.
Mais rien.
La foule se dissipe, les lieux redeviennent calmes.
Augustine part explorer les lieux, Annabelle pense qu'Arthuro est l'éventreur et serai un change-forme.
Je veux lui prouver qu'elle a tort.
Je donne rendez-vous à Arthuro, il me demande de changer d'étage.
Annabelle et Augustine doivent arriver après, pour qu'Arthuro et Sir Ginger ne se doutent de rien.
Arrivée sur place je demande une chambre à côté de la mienne pour une personne qui va se présenter juste après, et je rejoins Arthuro.
Celui-ci m'attendait nu sur le lit.
Je prends délicatement ses affaires et lui tend.
Nous nous étions mal compris sur nos intentions.
Nous discutons, il reste à l'aise.
J'entends un fracas dans la chambre d'à côté.
Je me précipite à l'extérieur en criant que Sir Ginger a un problème.
Je vois Sir Ginger étendu sur le sol et une silhouette s'enfuir.
Je pointe mon arme et tire à deux reprises en ratant ma cible.
Arthuro était derrière moi, arme à la main.
Je vais aux côtés de mon ami, et fais le nécessaire pour le soigner.
Les deux m'en veulent de leur avoir caché notre plan.
Je fais part à Arthuro que je pense qu'il s'agit d'un de ces hommes de main, et que je ne voulais pas que celui-ci se doute de quelque chose.
Il comprend mon point de vue.
Je n'avais aucune envie de lui mentir.
Sir Ginger quant à lui, reste en colère de cette façon de faire.
Je ne comprends pas où est Annabelle, Augustine et Titus.
(Ces derniers ont tentés de poursuivre Jack)

Merci pour ce chouette compte-rendu

Si les autres comparses veulent rajouter quelques choses, faites le dessous